A l'installation d'un nouveau système d'exploitation, on peut se retrouver devant un écran noir.
Pour rappel, voici quelques causes courantes d'un écran noir:
- une mauvaise alimentation;
- une résolution non adaptée de l'écran;
- un processeur, une carte graphique, un écran ou le cable de l'écran défectueux.
Lors de l'installation ou de la mise à jour d'Ubuntu, certains linuxiens se sont retrouvés devant un bel écran noir !
Les causes principales sont la résolution de l'écran ou le mode graphique.
Voir à ces adresses pour trouver une solution:
http://doc.ubuntu-fr.org/problemes_usplash
http://doc.ubuntu-fr.org/installation/rescue
http://brenta.free.fr/spip.php?article70
http://www.siteduzero.com/forum-83-381334-p1-linux-ecran-noir-ubuntu.html
D'autres adresses viendront s'ajouter car les cas sont nombreux.
Papy Ubuntu
Essai pour partager des connaissances sur Linux Ubuntu et sur l'informatique en général. Le but se veut didactique et élémentaire permettant aux passionnés de participer à l'amélioration du contenu et aux néophytes d'acquérir quelques notions basiques. C'est un guide pour la découverte de Linux et de l'informatique.
lundi 12 décembre 2011
mardi 8 novembre 2011
La carte graphique et ses usages
La carte graphique sert à produire et à gérer les images sur l'écran de l'ordinateur. Son rôle est donc essentiel et c'est pourquoi une attention toute particulière doit être portée à son installation.
Anciennement on parlait de carte VGA (de l'anglais Video Graphics Array) qui fut le standard d'affichage pour les ordinateurs que IBM (International Business Machines) a développé en 1987. On appela aussi IBM par le surnom de Big blue en référence à l'écran des ordinateurs qui, entre les années 1960 et 1990, étaient en général de couleur bleue.
La carte VGA est branchée sur l'ordinateur via un connecteur D-subminiature ou D-sub (on l'appelle D parce que ce connecteur à la forme d'un D renversé).
On parle de connecteur VGA ou DE-15 (le E représente la dimension de la coque, soit 16,92*8.36 et 15 le nombre de broches) lorsqu'il sert à connecter la carte graphique au moniteur en analogique. Par convention il est de couleur bleue.
Les premières cartes donnaient un affichage en 2D (deux dimensions). Elles étaient connectées sur une prise (ou port) ISA (Industry standard architecture).
On les nomme cartes MDA (Monochrome Display Adapter).
En 1981, apparaissent les cartes CGA (Color Graphic Adapter) qui donnent une définition d'affichage de 320*200 pixels (*) en 4 couleurs ou de 640*200 pixels en 2 couleurs.
*Le pixel est l'unité la plus petite adressable via la carte graphique. Cette unité sert à spécifier les définitions de l'affichage en largeur et hauteur. Son nom provient de l'anglais: picture element (en français élément d'image).
Entre 1981 et 1990, les cartes vont beaucoup évoluer augmentant le nombre de lignes et de colonnes et le nombre de couleurs.
Avec l'évolution, le port ISA va être remplacé par le port PCI (Peripheral Component Interconnect) qui est un bus(*) interne permettant de connecter des cartes d'extension (cartes graphique, son, réseau, mémoire,...) sur la carte mère.
Le port PCI va augmenter considérablement la vitesse de transfert entre le processeur et la carte graphique.
* Le bus est un système de communication entre les divers composants de l'ordinateur. Il permet notamment le transfert entre deux cartes PCI sans passer par le processeur.
En 1990, les cartes 3D apparaissent et depuis 1996, toutes les cartes graphiques gèrent le 2D et le 3D dans un seul circuit intégré qui leur est associé, le GPU (Graphics Processing Unit).
Anciennement on parlait de carte VGA (de l'anglais Video Graphics Array) qui fut le standard d'affichage pour les ordinateurs que IBM (International Business Machines) a développé en 1987. On appela aussi IBM par le surnom de Big blue en référence à l'écran des ordinateurs qui, entre les années 1960 et 1990, étaient en général de couleur bleue.
La carte VGA est branchée sur l'ordinateur via un connecteur D-subminiature ou D-sub (on l'appelle D parce que ce connecteur à la forme d'un D renversé).
On parle de connecteur VGA ou DE-15 (le E représente la dimension de la coque, soit 16,92*8.36 et 15 le nombre de broches) lorsqu'il sert à connecter la carte graphique au moniteur en analogique. Par convention il est de couleur bleue.
Les premières cartes donnaient un affichage en 2D (deux dimensions). Elles étaient connectées sur une prise (ou port) ISA (Industry standard architecture).
On les nomme cartes MDA (Monochrome Display Adapter).
En 1981, apparaissent les cartes CGA (Color Graphic Adapter) qui donnent une définition d'affichage de 320*200 pixels (*) en 4 couleurs ou de 640*200 pixels en 2 couleurs.
*Le pixel est l'unité la plus petite adressable via la carte graphique. Cette unité sert à spécifier les définitions de l'affichage en largeur et hauteur. Son nom provient de l'anglais: picture element (en français élément d'image).
Entre 1981 et 1990, les cartes vont beaucoup évoluer augmentant le nombre de lignes et de colonnes et le nombre de couleurs.
Avec l'évolution, le port ISA va être remplacé par le port PCI (Peripheral Component Interconnect) qui est un bus(*) interne permettant de connecter des cartes d'extension (cartes graphique, son, réseau, mémoire,...) sur la carte mère.
Le port PCI va augmenter considérablement la vitesse de transfert entre le processeur et la carte graphique.
* Le bus est un système de communication entre les divers composants de l'ordinateur. Il permet notamment le transfert entre deux cartes PCI sans passer par le processeur.
En 1990, les cartes 3D apparaissent et depuis 1996, toutes les cartes graphiques gèrent le 2D et le 3D dans un seul circuit intégré qui leur est associé, le GPU (Graphics Processing Unit).
lundi 7 novembre 2011
Distributions, dépôts, paquets et dépendances
Une distribution GNU Linux est un ensemble de logiciels qui ont été créés autour du noyau Linux.
Ces logiciels sont pour la plupart libres mais peuvent également être commerciaux.
En effet, on trouve de nombreuses distributions éditées par des entreprises telles que Mandriva, SuSE, Red Hat,..., mais une seule distribution gérée par des développeurs indépendants, c'est Debian.
Le créateur de cette distribution est Ian Murdock qui la lancée en août 1993.
L'origine du nom vient de la contraction du prénom de sa femme Debra et de son propre prénom Ian, ce qui donne Deb-Ian.
D'autres distributions sont issues directement de Debian comme Ubuntu qui a joui d'une grande popularité et d'une extension rapide par la volonté de son initiateur de la rendre accessible à tout public, par la qualité et la passion des développeurs qui sortent une nouvelle version tous les six mois et enfin par l'enthousiasme des utilisateurs qui créent des forums ou des blogs pour l'entraide et la convivialité. Vive Ubuntu !
Pour permettre une grande facilité d'accès aux programmes, ceux-ci furent regroupés en un même lieu appelé dépôt. C'est en fait un serveur qui gère et distribue à la demande pratiquement tous les programmes libres.
C'est d'ailleurs le fait que ces programmes sont libres qui permet de les rassembler ainsi, au contraire des programmes "propriétaires" ou privés dont les concepteurs contrôlent la diffusion.
Sous Ubuntu, les programmes sont délivrés sous forme de paquets.
Un paquet est un dossier qui comprend tous les fichiers nécessaires à l'installation du programme. Il se présente sous la forme d'un fichier .deb (pour rappeler son origine Debian).
Certains programmes ne peuvent fonctionner seuls, ils doivent s'adjoindre d'autres paquets. Ces autres paquets s’appellent des dépendances.
Mais, rassurez-vous, le système d'installation ira chercher automatiquement les dépendances dont il a besoin.
Lorsqu'une nouvelle version d'Ubuntu apparaît la sollicitation du serveur où se trouve le dépôt risque d'être très importante et d'entraîner une saturation. C'est pourquoi plusieurs dépôts différents comprenant tous les paquets de cette nouvelle version ont été prévus.
Voir également:
http://papyubuntu.blogspot.com/2011/10/les-depots-et-paquets-dans-ubuntu-de.html
Ces logiciels sont pour la plupart libres mais peuvent également être commerciaux.
En effet, on trouve de nombreuses distributions éditées par des entreprises telles que Mandriva, SuSE, Red Hat,..., mais une seule distribution gérée par des développeurs indépendants, c'est Debian.
Le créateur de cette distribution est Ian Murdock qui la lancée en août 1993.
L'origine du nom vient de la contraction du prénom de sa femme Debra et de son propre prénom Ian, ce qui donne Deb-Ian.
D'autres distributions sont issues directement de Debian comme Ubuntu qui a joui d'une grande popularité et d'une extension rapide par la volonté de son initiateur de la rendre accessible à tout public, par la qualité et la passion des développeurs qui sortent une nouvelle version tous les six mois et enfin par l'enthousiasme des utilisateurs qui créent des forums ou des blogs pour l'entraide et la convivialité. Vive Ubuntu !
Pour permettre une grande facilité d'accès aux programmes, ceux-ci furent regroupés en un même lieu appelé dépôt. C'est en fait un serveur qui gère et distribue à la demande pratiquement tous les programmes libres.
C'est d'ailleurs le fait que ces programmes sont libres qui permet de les rassembler ainsi, au contraire des programmes "propriétaires" ou privés dont les concepteurs contrôlent la diffusion.
Sous Ubuntu, les programmes sont délivrés sous forme de paquets.
Un paquet est un dossier qui comprend tous les fichiers nécessaires à l'installation du programme. Il se présente sous la forme d'un fichier .deb (pour rappeler son origine Debian).
Certains programmes ne peuvent fonctionner seuls, ils doivent s'adjoindre d'autres paquets. Ces autres paquets s’appellent des dépendances.
Mais, rassurez-vous, le système d'installation ira chercher automatiquement les dépendances dont il a besoin.
Lorsqu'une nouvelle version d'Ubuntu apparaît la sollicitation du serveur où se trouve le dépôt risque d'être très importante et d'entraîner une saturation. C'est pourquoi plusieurs dépôts différents comprenant tous les paquets de cette nouvelle version ont été prévus.
Voir également:
http://papyubuntu.blogspot.com/2011/10/les-depots-et-paquets-dans-ubuntu-de.html
samedi 22 octobre 2011
Le gestionnaire de bureau Gnome d'Ubuntu
A l'ouverture de la session vous arrivez sur le bureau Gnome.
GNOME est l'acronyme de GNU Network Object Model Environment, c'est le modèle de bureau développé pour le système d'exploitation GNU qui est exploité par GNU/Linux et UNIX.
Le système vous demande alors de vous authentifier. Cela est nécessaire car Ubuntu (Linux) est conçu pour permettre à plusieurs utilisateurs même distants de se servir du même ordinateur en même temps.
A noter que, lors de l'authentification, vous pouvez avoir le choix d'ouvrir d'autres gestionnaires de bureau que GNOME, si vous les avez installés, comme: KDE (Kubuntu), Xubuntu,...
Depuis la version Oneiric Ocelot (11.10) d'Ubuntu, Unity est l'interface proposée pour la gestion du bureau avec GNOME.
Pour plus d'informations à ce propos:
http://doc.ubuntu-fr.org/unity
GNOME est l'acronyme de GNU Network Object Model Environment, c'est le modèle de bureau développé pour le système d'exploitation GNU qui est exploité par GNU/Linux et UNIX.
Le système vous demande alors de vous authentifier. Cela est nécessaire car Ubuntu (Linux) est conçu pour permettre à plusieurs utilisateurs même distants de se servir du même ordinateur en même temps.
A noter que, lors de l'authentification, vous pouvez avoir le choix d'ouvrir d'autres gestionnaires de bureau que GNOME, si vous les avez installés, comme: KDE (Kubuntu), Xubuntu,...
Depuis la version Oneiric Ocelot (11.10) d'Ubuntu, Unity est l'interface proposée pour la gestion du bureau avec GNOME.
Pour plus d'informations à ce propos:
http://doc.ubuntu-fr.org/unity
vendredi 21 octobre 2011
Création d'un live USB avec Unetbootin
Unetbootin sous Ubuntu peut être téléchargé depuis la logithèque!
Sinon, voici une adresse:
http://www.depannetonpc.net/fiches-pratiques/lire_64_1_unetbootin-creer-une-cle-usb-bootable-sous-linux.html
Cet utilitaire permet d'installer sur une clé USB n'importe quelle distribution Linux, dont évidemment Ubuntu.
Vous pouvez également placer sur votre clé USB l'image d'un disque ISO que vous avez préalablement copiée sur votre ordinateur.
(Remarque: attention de ne pas vous tromper de lecteur destinataire!)
Vous devrez modifier dans le BIOS l'ordre de lecture pour démarrer à partir de votre clé USB.
http://papyubuntu.blogspot.com/2011/10/telechargement-de-linux-ubuntu.html
Pour rappel, il suffit au démarrage de l'ordinateur de lire les lignes qui apparaissent ou les choix en bas de l'écran, un de ces choix indique la touche donnant accès au BIOS.
N.B.: Attention de ne rien modifier d'autre dans le BIOS, les conséquences pourraient être très dommageables !
Sinon, voici une adresse:
http://www.depannetonpc.net/fiches-pratiques/lire_64_1_unetbootin-creer-une-cle-usb-bootable-sous-linux.html
Cet utilitaire permet d'installer sur une clé USB n'importe quelle distribution Linux, dont évidemment Ubuntu.
Vous pouvez également placer sur votre clé USB l'image d'un disque ISO que vous avez préalablement copiée sur votre ordinateur.
(Remarque: attention de ne pas vous tromper de lecteur destinataire!)
Vous devrez modifier dans le BIOS l'ordre de lecture pour démarrer à partir de votre clé USB.
http://papyubuntu.blogspot.com/2011/10/telechargement-de-linux-ubuntu.html
Pour rappel, il suffit au démarrage de l'ordinateur de lire les lignes qui apparaissent ou les choix en bas de l'écran, un de ces choix indique la touche donnant accès au BIOS.
N.B.: Attention de ne rien modifier d'autre dans le BIOS, les conséquences pourraient être très dommageables !
mercredi 19 octobre 2011
Bug au boot - Problème au démarrage
Le réparateur de démarrage (en anglais boot-repair) permet de solutionner la plupart des problèmes de démarrage (boot) ou de Grub.
http://papyubuntu.blogspot.com/2011/10/comprendre-le-gnu-grub.html
Il suffit de choisir l'option réparation recommandée (en anglais first repair).
Si vous n'avez plus d'accès à aucun système d'exploitation (OS), la solution est d'employer un boot-repair-disk dont voici l'adresse de chargement:
http://sourceforge.net/projects/boot-repair-cd/files/
C'est un fichier ISO hybride compatible 32 et 64 bits qui va lancer automatiquement boot-repair au démarrage du CD.
Après avoir lancé le CD et choisi votre version (32 ou 64 bits), prenez l'option "first repair" (réparation recommandée).
Très important !
En choisissant "créer un rapport bootinfo" (boot info script), vous pouvez obtenir un rapport pour recevoir de l'aide sur les forums.
Il suffit de copier l'adresse URL (http:// ...) qui apparaît et de la coller dans votre message!
Pour plus d'informations voir:
http://doc.ubuntu-fr.org/boot-repair
http://papyubuntu.blogspot.com/2011/10/comprendre-le-gnu-grub.html
Il suffit de choisir l'option réparation recommandée (en anglais first repair).
Si vous n'avez plus d'accès à aucun système d'exploitation (OS), la solution est d'employer un boot-repair-disk dont voici l'adresse de chargement:
http://sourceforge.net/projects/boot-repair-cd/files/
C'est un fichier ISO hybride compatible 32 et 64 bits qui va lancer automatiquement boot-repair au démarrage du CD.
Après avoir lancé le CD et choisi votre version (32 ou 64 bits), prenez l'option "first repair" (réparation recommandée).
Très important !
En choisissant "créer un rapport bootinfo" (boot info script), vous pouvez obtenir un rapport pour recevoir de l'aide sur les forums.
Il suffit de copier l'adresse URL (http:// ...) qui apparaît et de la coller dans votre message!
Pour plus d'informations voir:
http://doc.ubuntu-fr.org/boot-repair
samedi 15 octobre 2011
Réinstallation d'une version d'Ubuntu
Il est possible d'effectuer une réinstallation de la même version d'Ubuntu et également d'une version plus ancienne. Mais cette réinstallation va écraser complètement la version en cours!
Cela nécessite donc quelques précautions si l'utilisateur souhaite conserver des fichiers personnels ou des configurations spécifiques. Heureusement, ils se trouvent conservés dans un seul répertoire "/home".
Trois méthodes permettent de sauver le répertoire "/home":
Le sauver sur un support externe, le sauver sur une partition séparée prévue à cet effet ou utiliser la fonction du programme d'installation qui le préserve.
Pour obtenir une information plus détaillée voir:
http://doc.ubuntu-fr.org/reinstallation_ubuntu
Cela nécessite donc quelques précautions si l'utilisateur souhaite conserver des fichiers personnels ou des configurations spécifiques. Heureusement, ils se trouvent conservés dans un seul répertoire "/home".
Trois méthodes permettent de sauver le répertoire "/home":
Le sauver sur un support externe, le sauver sur une partition séparée prévue à cet effet ou utiliser la fonction du programme d'installation qui le préserve.
Pour obtenir une information plus détaillée voir:
http://doc.ubuntu-fr.org/reinstallation_ubuntu
Inscription à :
Articles (Atom)